Page:Quarré - Poésies d’Antoinette Quarré, 1843.djvu/75

Cette page a été validée par deux contributeurs.


ODE À LA REINE.



« Quoi ! si jeune, ô mon Dieu ! tu l’avais condamnée !
« Rien n’a pu la sauver, rien n’a pu te fléchir ;
« De beauté, de talens, de vertus couronnée,
« À l’amour d’un époux ne l’avais-tu donnée
« Que pour la lui ravir ?