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À Hégésippe Moreau.
Oh ! que tu dois sourire, Hégésippe, à la gloire
Qui vient, belle et pompeuse, illustrer ton cercueil !
Qu’elle a de majesté sous sa tunique noire
Et ses atours de deuil !
Sa main, pour ombrager la couche où tu reposes,
D’un laurier immortel a cueilli les rameaux,