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À M. le Comte d’Audiffred.
Comme, aux bords de son nid, sur la cîme élevée
D’un arbre au doux ombrage, aux flexibles rameaux,
Quelquefois, en juillet, une jeune couvée
De timides oiseaux,
Comme, aux bords de son nid, sur la cîme élevée
D’un arbre au doux ombrage, aux flexibles rameaux,
Quelquefois, en juillet, une jeune couvée
De timides oiseaux,