Page:Quarré - Poésies d’Antoinette Quarré, 1843.djvu/321

Cette page a été validée par deux contributeurs.


LE POÈTE.



 
« Lyre, ont dit les heureux, éloigne la tristesse ;
 « Pourquoi tant de soupirs ?
« Les chants de désespoir ou les cris de détresse,
 « Voilà donc tes plaisirs ?