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Le Pardon de l’Infidèle.



 
« Quitte le ton plaintif ; il est temps, ô ma lyre,
 « D’essayer d’autres chants ;
« D’un amour malheureux tu te plais à redire
 « Les éternels tourmens.

« Va, c’est assez gémir, secoue enfin les chaînes,
 « Ô lyre ! éveille-toi ;

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