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CAPRICE.



Je ne veux plus t’aimer ; c’est en vain qu’à genoux
Tu viendrais, rappelant les sermens les plus doux,
Demander quel orage a passé dans mon ame ;
Me dire, qu’éphémère, un caprice de femme
Seul a pu m’inspirer de semblables discours ;
Que je t’aimais hier, que je t’aime toujours ;