Nota. — Nous indiquons les additions faites dans cette nouvelle édition par le signe plus (+), que nous mettons en tête, et que nous avons adopté de préférence à l’astérisque (*), dont l’emploi est très fréquent à la suite des initiales ; il fallait éviter toute confusion. Il eut été plus simple de marquer d’un signe quelconque les articles anciens, qui forment à peine un huitième de notre édition ; mais il devenait alors difficile d’indiquer les notes nouvelles ajoutées à l’ancien texte.
+ A. (M.), traducteur supposé [l’abbé Jean de Roussy].
Aurélia, ou Orléans délivré, poëme latin (qui n’a jamais existé), traduit en français par —. Paris, Mérigot, etc., 1738, in-12.
Cette traduction est écrite en prose poétique et non en vers, comme l’a dit par erreur Lenglet Dufresnoy. L’auteur, dans sa préface, assure que l’original existe, mais qu’il n’a pas été publié. Cette assertion est une petite fraude ; il n’est plus douteux que le prétendu poëme de Roussy a été composé en français. Le même sujet a depuis été effectivement traité par Cherbuy en langue latine, sous un titre semblable : Aurelia liberata, vulgo Jeanne d’Arc, 1782 ; mais les deux ouvrages n’ont de commun que les événements et l’héroïne qu’ils célèbrent.
+ A. et H. [Pierre-Hubert Anson et Louis-Théodore Hérissant].
Les deux Seigneurs, ou l’Alchimiste, comédie en deux actes et en vers, par MM. — , avec deux airs nouveaux de M. Champein, et une lettre de M. l’abbé de Voisenon. Londres, et Paris, Eug. Onfroy. 1783, in-12.
-{-X.^pseudo-iniliaL [Gabriel Bourbon-Leblanc ], rédacteur du u Tableau de Bord aux, )) alors que Voidel, son fondateur, se trouvait à Paris. M. Bourbon-Leblanc s’attira une condamnation à mort pour ses articles sur les élections d’alors (1797) : il y échappa en fuyant en Espagne.
-I- A. et C. [MM. Arnaud, sténo2 :raphe, et Ant. Caillot].
Précis historicpie de la campagne de 1814, contenant, etc. Sec. édit. Paris, Arnaud, 1814, in-12de 120 pag.
La première édition est entièrement anonyme.
