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.’. AIGUEBERRE (J.-D. Dumas d’), con seiller au parlement de Toulouse, né dans cette ville, suivant l’opinion de toutes les biographies (ou à Florence, suivant Poitevin-Peitavi), le 6 septembre 1692 ; mort à Toulouse, le 21 juillet 1755.
— * Xettre d’un garçon de café au souffleur de la comédie de Rouen, snr la pièce des Trois Spectacles. Paris, 1729, in-12.— Réponse du souffleur de la comédie de. Rouen, à la lettre dn garçon de café. Paris, 1730, in-12.
— Trois (les) spectacles, ou Polixèue, tragédie ; l’Avare amoureux, comédie ; Pan et Doris, pastorale héroïque. Paris, Tàbaric, 1729, in-8 et iu-12.
On a encore d’Aiguebcrre : le Prince de.Noisj-, comédie en trois actes et en prose, jouée en 1730 ; Cotinette, parodie de sa tragédie de Polixèue ; ces deux pièces n’ont point étéiinprhnées.
AIGUILLON (Arm.-Vigneron-Duplessis-Richelieu, duc d’), pair de France, né en 1720, mort en 178..
— Recueil de pièces choisies, rassemblées par les soins du comospolite.’. « ccW, Friel, B… t, (Veret, en Touraine), 1735, in-4. —Suite de la Nouvelle Çyropédie, ou Réflexions de Cyrus sur ses voyages. Amsterdam (Rouen), 1728, in-8..,..’
Nous ne savons comment concilier les dates que portent ces deux vol.’qui sont attribués au duc d’Aiguillon, avec la date delà naissance de ce dernier : la princesse de Coiiti, l’abbé Grécourt et le P. "Vinot, oralorien, ont eu part au dernier.
AIKIN (John). Abrégé des faits les plus importants concernant la vaccine ou petite-vérole des vaches, trad. de l’angl. par B*** des C***, niéd. de la faculté de Paris : précédé d’une préface du traducteur, , ou Essai.d’une théorie sur le procédé de l’inoculation, et sur les maladies, spécifiques et contagieuses, avec fig. color. Paris, Croullebois, 1S01, in-8, 1 fr. 5o c.
— Annales du règne de Georges III, roi d’Angleterre, traduites par EYRIÈS, et continuées par THEKEMIN. Paris, Gide Jils, 1820, 3 vol. in-8, 18 fr.
Cet ouvrage a été refondu en grande partie dans la nouvelle édit. de l’Histoire d’Angleterre, de Hume et Smoïlet, continuée jusqu’en 1820, par Adolplnis, Aikin, et quelques autres historiens anglais.
— Observations sur les hôpitaux, aveenne lettre àl’auteur, surlemême sujet, dudocteur PERCIVAL; ouvrage trad. (de l’angl.), et auquelon a ajouté quelques notes. Par 13ertr.VEar.AG. Paris, Crapart et Briand, 1787, in-13.
— * Soirées (les) au logis, ou le Portefeuille de la jeunesse, traduit de l’anglais.
Sec. édit. Genève, et Par., Paschoud, 1826, 6 vol. in-12, 9-fr.
Avec sa sœur mistriss Barbauld. La première édit. est de 1798 : .
— Vie d’Edmond Spencer, poète anglais, traduite de l’anglais, par A.-M.-H.BouiARn (Extrait des Annales encyclopédiques). Paris, Maradan, 1818, in-8 de 40 pag.
— Vie de Jean Howard, célèbre philanthrope anglais, traduite de l’anglais, par A.-M.-H. BOOLAUD. Paris, le même, 1796, in-12. ’’.'
AILE. Œuvres (ses) diverses. Paris, Delalain, 1766, 2 vol. in-12.
AILHATJD (J.), chirurgien, né à Lourmian, en Provence, en 1674, mort à Aix, eu 1756.%..
— Traité de l’origine des maladies et des effets de la poudre purgative. Sec. édition, augmentée.-dvignon, Rousset, 1748, in-8.
La première est de 1740.
AILHAUD (J.-P. Gasp.), bar. de.Castelet, secrétaire du roi, fils du précédent, mort à Paris, le 22 septembre 1800. — Ami (1’) des malades, ou Discours bistorique et apologétique de la poudre purgative. Paris, Grange, 17G5, , 1769, in-12.,
- -—.Lettres à M. Barheu-du-Bourg, au sujet
de la poudre purgative. Paris, 1762, in-12.
— Médecine, universelle prouvée par le raisonnement, ou Précis du Traité de J. Ailhaud. Nouvelle édition. Carpentras, 1764, 5 vol. in-12.
La première édition, de 1762, n’a qu’un volume.
— Traité de la vraie canse des maladies, et manière la plus sûre de les guérir par le moyeu d’un seul remède. Paris, 1776, in-12.
AILLAÙD (l’abbé P. Tôuss.), professeur. de rhétorique, ensuite bibliothécaire de la ville de Montauban ; né à Montpellier, le icr novembre 17 5g, mort à Montanban, à la fin de 1826.
— Apothéose de Thérésine, poè’me élégiaque en v chants. Montauban, de rimpr. de Crosilhes, 1802, in-8.
—Argonautes (les) de l’humanité, poè’me en 11 chants. MontenS., Zn/brg7/c,.i 817)iii-8.
— Cléopâtre à Auguste, héroïde. Montauban, de l’impr.de Crosilhes, i8o3, in-S.
— Égypliade (1’), poè’me héroïque en XII chants. (Nonv. édit.). Paris, Lenormant, Pclicier, 1813, in-8, 4 fr.
La. première édition est de Toulouse, 1S02, in-S, C’est un poëme sur la campagne.de Bonaparte eu, Egypte, calqué sur celui de la Jérusalem délivrée.