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Du Mouvement des fardeaux, i8i8, avecaopl., iCfr. Tom. III, Des Machines qu’on emploie dans les construe. fions diverses, 181S, i vol. avec 26 pi., 20 fr. Tom. IV, Des Machines hydrauliques, 1819, I vol. avec27.pl., 20 fr. Tom. Y, Des Machines d’agricul* ture, 1819, ivol. avec 28 pi., ai fr. Tom. VI, J ? » Machines employées dans diverses fabrications, 1S19, 1 vol. avec 27 pi., 21 fr. Tom. VII, Des Machines ’gui servent à coiifectionner les étoffes j 1820, Ï vol. avec 44 pi. j 3o fr. Tom. VIII, Des Machines, qui imitent ou facilitent les fonctions vitales des corps animés, 1820, 1 vol. avec 27 pi., 21 fr.

— : Théorie de la mécanique usuelle, ou Introduction à l’étude de la mécanique appliquée aux arts ; contenant les principes de statique, de dynamique, d’hydrostatique et d’hydrodynamique, applicables aux arts industriels ; la théorie des moteurs, des effets utiles des machines, des organes mécaniques inteiraédiaires, et l’équilibre des supports. Paris, leméme9 1821, in-4, avec 5 planches, i5 fr.

— Traité élémentaire de construction appliquée à l’architecture civile. Paris, le même, iSaî, 2 vol. in-4, dont un de pi., 3o fr,

BOB.IE, médecin. Épitre à M. le docteur Broussais. Fcrsailles etPar., 182 4, in-8, 2 fr,

BORIE (J.-Fr. de). Recherches (lés) dès eaux minérales de Gauteret, avec la manière d’en user. Tarhes, 1714, in-8.

BORIE (L.). Essai sur le recrutement et les hôpitaux militaires en France. Paris, imp. de Dcmom’ille, 1822, in-8. — Traité des maladies et des infirmités qui doivent dispenser du service militaire lorsqu’elles ont résiste aux traitements connus, etc. Paris, Jourdain, pharm., rue de Grenelle-Saint-Germain, 8z&, in-8, 3 fr.

BORIES (Pierre), anc. pharmacien major des armées, et, de l’université de Kaples, aujourd’hui docteur en médecine et pharmacien à Montpellier, membre titulaire de la Société de médecine pratique de cette ville ; correspondant delaSocictélinnéenne, médicale et d’agriculture, de Bordeaux, de Paris, Narbonne, etc., etc. ; néà St.-Laurentla-Cabraïrisse(Aude), le 18 octobre 1785.

— Antidote du Mémorial pharmaceutique de Pierquin médecin. Par un pharmacien de Montpellier. Montpellier, 1S24, in-8 de S pag.

On a attribué cet ccril a M. Bories, qui aurait répondu h la critique assez, sévère que. fit M. Pierquin des formulaires en général et de celui de M. lïorîcs en particulier.

— Arte (de) medicamentariâ generaliter sumptà et dé quibusdam antimonïalibus pharmacis. Monspclliensis, 181S, in-8 de 20 pag.

Thèse soulemic par l’auteur pour être reçu pliar 1 inaoien : M." Borîes y a traité des progrès que la pharmacie, avait faits en France ct de leurs causes.

y— Çonsidérationsphysiologïqués et pathologiques surTinfluence réciproque du moral sur le physique et àa physique sur le moral. Montpellier, imp. de Martel aînéy 1827, in-8 de 67 pag.

. Thèse soutenue.par l’auteur pour sa, réception de docteur-médecin.

— Formulaire de Montpellier, ou Recueil des principales formules magistrales et ofïiT cinales, etc. Mo7itpellier et Paris, Gabon et comp., 1822, in-18, 4 fr.

— Mémoire sur la fabrication en grand dn sirop et du sucre de raisin. Naples, 1812, in-8 de 60 pag.,

L’auteur présenta dans cet écrit quelques vues nouvelles sur les qualités de raisin les plus propres à fournir le principe sucre et sur l’influence que l’âgé des vignes exerce sur sou développement. Il remarque aussi, que le calorique, , trqp longtemps : en contact avec ce principe, le colore ci lui fait acquérir tin goût désagréable ; -ce qui le conduisit à indiquer des moyens nouveaux pour le refroidir pvompteinent et pour obtenir du sucre en pain.

— Notice sur ses’lravaux chimicorpharma- ; ceutiques. Paris Jimp. de Gueffier, _i$n69 in-8 de 24 pag.

Celte.Notice fui publiée par son auteur pour obtenir lacanditature de l’Inslitut pour une. place vacante à l’école de pharmacie de Montpellier. M. Borîes y paraît prouver qu’il a indiqué le chlontre de chaux comme moyen désinfectant avant M. t, abavraque, et il cile plusieurs passages d’un Mcm.publ.cn 1822 dans le Journal de médecine pratique de Montpellier, dont ce pharmacien aurait tire parti pour faire ses expérïonces. Cette Notice donna.lieu a une lettre d’un de ses concurrents à M— Vanquelin, qui avait fait valoir les titres de M. lîorîes auprès de l’Académie des sciences el à laquelle celui-ci fit la réponse suivante ;

— Réponse de P. Bories à la lettre suïvaute (celle de M. Pouzin). Paris, impr. du même, 1826, in-8 de 16 pag.

Cette broch. contient une lettre de M. Pouzin à H. Vauqnclîn, relativement à la découverte des propriétés désinfectantes du chlorure de chaux, eL la réponse de M. Bories à celte leltre.

Indépendamment de ces écrits, M. Bories a encore publié quelques Mémoires et Analyses i° dans le Journal de la Société de médecine pratique de Montpellier, un Mémoire sur les proportions du jtnncîpcfébrifuge et sali/fable contenu dans la racine dç quinquina employé à Montpellier (janvier 1822); Moyen préservatif des maladies contagieuses ou par infection de l’air (mars 1S22) : dans ce dernier Mémoire, lu à la Société deméd. pratique dans le mois de janv ;, M. Bories proposait le chlorure de chaux comme moyen désinfectant, aussiréclame-t-il la priorité de l’emploi du même moyen par 51. Labarraque, qui ne fit ses premiers essais que dans le mois d’août de la niême année; des Analyses des Annales de physique et do chimie et de l’ouvrage de Berzelius, intitulé : « De l’Emploi du chalumeau dans les analyses chimiques » ; 20 dans le.Tournai de pharmacie, les résultats d’une Analyse des eaux minérales de Uusîgnurgues, près Montpellier.

lïn ïSn, M.’Bories, alors pharmacien de l’uni; versité de Naples, s’occupa, par ordre du gouver