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ailleurs, etc. IIIe édit. Paris, Nyon Vaine, iSo5, 3 vol. m-12, 7 fr— 5o c.
La première édit. est de 3787, a vol. in-12.
. * Pièces (nonv.) intéressantes, servant
de supplément à tout ce qu’on a publié suites états-généraux, et sur l’éducation des princes destinés à régner. 17S9, a vol. in-8.
On trouve à la fin du second vol-, une pièce intitulée : L-es Quatre états de la France, poëme patriotique, traduit librement du chancelier de VHôpital. C’est une traduction supposée, car cette piiVc est bien de 11erenger.’
- Poésies de société et de circonstance,
la plupart connues dé l’auguste famille des Bourbons, et imprimées dans différents recueils, Lyon, Brnncc, -iSf], in-8.
— * Portefeuille (le) d’nu Troubadour, oti Essais-poétiques de M. B., suivis d’une Lettre à M. Grosïcy, sur les Trouvères ou Troubadours. Marseille et Par.’, 178a, in-S. — * Quatre (les) états de la France. 1789, iu-S.
—Recueil de prières, contenant toutes celles qui se trouvent dans la Bible, pour faire suite au Psautier deLaHarpe. iSo3, in-12.
— Soirées (lus) provençales, ou Lettres de M. L.-P. Bérenger, écrites à ses amis, pendant ses voyages dans sa patrie. IIIe" édition, rev. et augm. Marseille, Masvert ; Paris, Lceointe et Durey, iSi.gva vol. in-32, 5 fr.
— La première édit. parut en 1786, 3 vol.
Cet ouvrage est proprement une nouvelle cdît., mais fort augmentée, du P~oyage dé Provence.
—Terreur (la) et les Terroristes. 1S 1 /t, in-S.
— Tribut (le) de l’amitié, ou.Ëpître a feu M. de La Serre. 1778, in-8.
— Voyage en Provence, ou Lettres de M. B. (Bérenger), écrites à ses amis d’Orléans, etc. Marseille et Paris, 1783, iu-12.
Réimprimé dans les œuvres de l’auteur, de nouveau dans les Soirées provençales et dans les Voyages en’France et autres pays. 5 vol. in-18.
jBérengcr débuta dans là carrière littéraire par une pièce satirique intitulée,’Les Bouhrards de provint*, qui lui nuira des disgrâces, et par le conte de La Poule. Ces deux pièces insérées dans le Journal politique furent cause de sa suppression. On a encore de lui VHiver, cpître à mes livres, pièce couronnée par l’Académie de la Conception, à Rouen, iuipr.cn 1781, et îtaminculus, carmen, couronne en 1782, par la même Académie, impr. aussi dans les recueils de celte so « ciété ; un "grand nombre de poésies dans l’Aïmanach des Muses, depuis 1776, " cl dans différents journaux et recueils littéraires ; un Recueil de poésies républicaines. Bérenger a été l’éditeur du Précis historique de l’infanterie légère, par Je général Duchesne, et a été ïe collaborateur de Courel de Villeneuve au Trésor du Parnasse et aux Affiches d’Orléans.
La France littéraire de 176g cite encore de Bérenger : L’Incendie, élégie ; une douzaine de Fables, insérées dans l’Élite, des Poésies décenlesi ; OiphêeTet le Rossignol ; Imitation de Strada.
Selon M. Ersch, il a aussi donné des Contes à la manière d’îristênètc, dans le fllanueldcs boudoirs, et une traduction du Mariage desileurs, de D. La croix, Imprimée h la suite delà quatrième édit. des Démonstrations élémentaires de Botanique, Lyon, y]CfS.
BÉRENGER (Marcelin), ancienmagis—’ liât, né à Valence (Drôinc), vers 1785.
— Justice (de la) criminelle en France, d’après les lois permanentes, les lois d’exceptionetlesdoctrines des tribunaux.Parâ, Lliuillicr, 1818, in-S, 7 fr. ôo c.
— Novelles de Justinien, trad. da latin. Voy. JosTmiEK.
— Religion (de la), dans ses rapports avec l’éloquence ; discours prononcé à l’ouverture des audiences delà Gourde Grenoble, an mois de novembre ISI3. Grenoble, impr. de Ve Peyronard, ISI/, , in-8 de xi et 49 pag.
BÉRENGER-LABAUME. Tables de la déclinaison du soleil au méridien de Paris, pour les années 1S14 à iSî5 inclusivement. Marseille, Mossy, 1S14, in-S de 34 pag., 75 c.
BERESFORD (le doct.). Misères (les) de la vie humaine, ou les Gémissements et soupirs.exhalés au milieu des fêtes, des spectacles, des bals et des concerts, etc.; trad. de l’angl., par Th.-P. BERTIH". Sec. édition. Paris, Delaunay, 1817, a vol. in-12, avec fig., 6 fr. —
M. A. Dufresne a donne les Douceurs de la Vie, nui peuvent faire suite à cet ouvrage.’
BERGASSE (Nie), avocat et publiciste, né à Lyon, en 1750.
— Cahier du tiers-état à l’assemblée des états-généraux. 1789, ’. in-S.
.—Considérations sur le magnétisme animal, ou sur la Théorie du monde et des êtres organisés, d’après les principes de Mesmer. La Haye et Paris, 1784, in-8. T C’est le même ouvr. que la Théorie du monde, etc. — Discours sur cette question : Quelles sont les causes générales des progrès de l’industrie et du commerce, et. quelle a été leur influence sur l’esprit et les mœurs des nations ? Lyon, 1774, in-S.
— Discours sur la mauière dont il convient délimiter le pouvoir législatif et lé pouvoir exécutif dans une monarchie. 1789, in-S.
— Discours sur les crimes et les tribunaux de haute-trahison. 17S0, in-S.
— * Eloge historique dn général d’Hautpoult, inspecteur — général de cavalerie. Paris, Arl.-Bertrand, 1807, in-8, 2 fr.5oc.
BI. Berçasse a rédigé cet éloge d’après des notes qui lui ont été fournies.par M. Boiluau, notaire, ami du général, liarb. : , T— Essai sur la loi, sur la souveraineté et sur la liberté de manifester ses pensées, ou