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de l’art 4’aecoucheiv Sec. édit. Paiis, Maquignon l’aîné, 1778, 7 vol. în-ia, 12 fr. La premièie édition parut de 1761 à iGS.

— Traité des tumeurs et des ulcères, où l’on a tâché de joindre à une théorie solide la pratique la plus sûre et la mieux éprouvée. Paris, Cavelicrs 179, 1768, a vol. in-12.

Parmi les Mémoires deTAcàdémïé dès sciences de Montpellier, on en trouve deux d’Aslruc, le premier sur les Pètrificatiom de Boutonnet, petit village près de Montpellier (1708) ; le second intitulé : Conjectures sur le redressement des plantes inclinées à l’horizon (170S).

ASTRUC (L.). * Traité des servitudes, des héritages rustiques et urbains. Nîmes, 1770, in-12.

ATGER (Xav.), né à Montpellier, en i75S..

— * Avantages (des) de l’esprit d’observation dans les sciences et dans les arts, avec quelques remarques relatives à la physionomie. Paris, de Beausseaux, 1809, br. in-S, a fr.

A l’appui de cet opuscule l’auteur a réuni 6 à 700 portiaits de peisonnages distingués de tous les états et de nations diverses,’formant 5 gros vol, în-fol. allant., avec plusieurs notes manuscrites. Ce recueil de portraits,’, et quelques autres endessins et estampes 1 d’artistes meiidiooaux, soit dans la bibliothèque de l’Jcole de médecine de Montpellier, à qui ce savant en a fait hommage.

— * Considérations philosophiques, iemarques, observations, anecdotes particulières sur la vie et les ouvrages de Séb. Bourdon, ancien recteur de l’Académie royale de peinture. Paris, de Beausseaux, 181$, in-8, 2 fr, 5o c.

L’auteur avait îccueîllî un grand nombiede notes pour cet ouviage, mais elles sont restées inédites, n’ayant pas voulu en faire une seconde édition.

Cer modeste savant a en poi tefeuille : une Esquisse, en latin, d* la vie de Napoléon ; une Notice sur le groupe céllbrc de Laocoan, dévoie avec ses deux enfants par des serpents, et un Recueil de pensées diverses, observations, réjlexious libres t morahs, philosophiques, concernant l’homme, la ie, la politique, les.’lettres —et lès arts.’

Indépendamment du recueil de portraits, mention’-., né ci-dessus, M. Atger a encoîe fait présent à la bibliothèque de médecine de Montpellier d’une collection non moins intèiestante, qu’il avait formée dans l’intention d’honorer-.la Miiémoirc’des-artistes distingués qu’a produits le Midi de la Fiance : c’est une collection de dessins choisis, plus ou moins importants, de chacun de ces maîtres, qui lui a coûté .plus] de quarante, ans à former. t

ATHALIN(C1.-Ï, r.), doct. en médecine,’ né à, Ceruboing, en Franche-Comté, le 10 septembre 1701, mort le r5 mars 17S2.

— Instïtntipnes. anatoimcas : pei placïla et responsa. Vesantionc, 1756, in-8.

— * Lettre à un médecin de la province, au sujet d’une observation raie et intéressante sur les accidents survenus, seulement au

bout de cinquante-quatre jours, en suite d’un coup reçu à la tête, qui n’avait occasioné aucun accident primitif. Besancon, 1746, in-8, Haller nie piesque l’existence de ce médecin

ATHANASE (N.). Essai physiologique sur l’intelligence humaine. Paris, Crochard, 1819, in-8, 1 fr. 2 » c.

ATHANASE (R). Remarques sur Athalie, sur le danger de quelques doctrines sacerdotales et sur Tillma, au sujet de la représentation donnée à l’Opét a le S mars (i 819). Paris, Corréard, i8ig, in-8 de 24 pag. 1 fi.

ATHANASE (S.). Traduction d’un excellent Discours contre ceux qui jugent de la vérité par la seule autorité de la multitude, aec des réflexions (par l’abbé LEROY). Nouv. édition avec des augtn. (d’un anonyme). Pans, 1740, in-12.

La première édition est de IC5I, in-4.

ATHÉNAGORE, philosopheplatonicîen. — Résurrection (de la) des morts, trad. du grec, " par le P. L’. RENIER. Breslau, 17 53, in-8., ’1

On troue une analyse assez étendue de l’apologie pour les Chrétiens, d’Atbénagoie, dans le preiniel vol. de la suite des anciens apologistes de la religion chrétienne, par l’abbé de ioui cy Pans, 1780, 111-8 ;

ATHÉNAS (P.-L.), ex-directeur de la Monnaie, de Nantes, membre de la Société roy. des Antiquaires de France.,

Nous ne connaissons de M— Atbénas. que troi* ail. do chimie dans le premier vol. du Jonrn. des Mines, 179, 5, et les Mein. suivants, mentionnés dans le Magjsin encyclopédique, comme ayant été Jus a l’Institut dépait. delà Loire-Inmiicnie, antéiicureuient a 1S02 : Mémoire sur une nouvelle tourbière.— Surlescarrières de pierre à chaux.— Sur an inoien de perfectionner les fourneaux de réverbères. — Sur la Minéralogti. du départ,’de ta Loire-lnféiiture, et le suivant, imprimé dans le recueil de la Société dont il est membre : Mc. moiresut la véritable position du Binâtes Poilus d Ptolêmêt, cl sur le nom que portait Brest dans les premieis siècles de notre ère. (Tom. III, 1S21).

ATIÏÉNÉE. Athenœus, Deipnosophistarum libtixv, gr. etlat., cum notis variorum, cxedit. etcumanimadvers. J. SCHWLIGHAUESE’R. drg’ntorati, Tretittèl et Jfurtz, 1801-05, 14 vol. in-8, pap. collé, 126 fr.

Édition regaidée comme la meilleuie que l’on ail de cet auteui. On peut y joindic : F. Jacobi Additamentà ttd Dcrpnosophtstas. jenoe, 1800, in-S.

— Banquet (le) des.savants, trad. dugr., tant sur les textes imprimés, que sur plur’ sieurs manuscrits, par M. LEFEVRE DE YILI.EBE.TJHE. Paris, , impr. de Didot jeune (* Treuttel et Wurtz), 1789-91, 5 vol. in-4, 8° fr. ; pap. vél., 120 fr.,

/Traduction inexacte cl in al écrite : -il m : a’.poiii’laut* été liié deux ceinplaires sui vélin..

ATHIER, pseud. Voy. GAWIEE. (AIH.).