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terres de soleil et de sommeil

et font un bourdonnement confus. Et de grands charognards viennent tournoyer au-dessus des cadavres…

Images de la brousse, si vives et sitôt passées…

Seul dans ma tente, je bénis le sort qui m’unit à la douce Penndé que tant d’heures déjà, alternativement bénignes et violentes, me font aimer et vénérer…