pour le domicile ; un emploi, un cadre, voilà pour l’homme.
Les Napoléons, loués d’avoir châtré le pays en supprimant les droits et les libertés publiques ; la pornocratie consommera l’œuvre, en châtrant les maris par la substitution du concubinat au mariage.
Napoléon III, chef de l’État, des libertés et des propriétés, des places, des droits ; M. Enfantin avec sa concubine, chef des ménages, confesseur des maris, etc. : un empereur, un pontife.
Plus de doctrines, d’idées, de théories, de système. A bas la raison, vive l’impromptu ; vive l’arbitraire ! On tâte le pouls à l’opinion ; on l’excite ; on lui imprime une direction ; et alors, vox populi, vox Dei.
D’un côté, comme de l’autre, on organise la guerre à la famille et à l’individualité.
On ne veut plus ni de mariage, ni du droit.
On tend à une prostitution générale. C’est très-manifeste.
Les aveux explicites, les théories des femmes-auteurs le prouvent.