justice, d’abord par une éducation sévère, puis par l’union conjugale, elle devient vaillante, héroïne, et cela avec facilité, sans emphase, ni effort, ni embarras.
La conscience ! la conscience !
La conscience, où est-elle ? Est-ce le cœur, le cerveau, l’estomac, les reins, ou autre partie du corps ? Rien de tout cela.
La conscience est commune à tous les hommes : elle est indivisible.
Mais la nature, avant qu’il y eût société, a dû y pourvoir par une création spéciale ; selon moi, c’est la dualité androgyne dans laquelle la réciprocité est au plus haut degré le respect mutuel supérieur, le sacrifice le plus complet.
La femme est faible mais belle ; l’homme fort, mais rude ; la femme est improductive, mais soumise ; l’homme travailleur, mais dominant, On peut poursuivre ce parallèle.
Ceci est plus qu’une alliance, c’est une associa-