vertu propre de l’âme, si la joie de la conscience, par suite l’éclat du génie, ont subi, sous l’influence de la tristesse religieuse, une longue éclipse, cette éclipse touche à sa fin, et que des succès plus grands, une félicité supérieure, nous attendent.]
Préambule 1.
Chap. Ier. — Critique de l’idée de progrès. 4.
Chap. II. — Théorie du progrès. 37.
Chap. III. — Confirmations historiques : l’Église. 57.
Chap. IV. — Rome et les empereurs. 73.
- Extraits de l’histoire des empereurs : Hélagabal 86.
- Alexandre-Sévère 91.
- Maximin 94.
- Probe 99.
Chap. V. — De la littérature, dans ses rapports avec le progrès et la décadence des nations. 105.
Chap. VI. — Suite du précédent. 149.
[Argument. — Tout révèle dans le mariage une institution qui a pour but de subordonner l’amour à la Justice, conformément à la théorie de la perfectibilité, et de faire de cette passion, essentiellement idéaliste, l’auxiliaire le plus puissant de la conscience, partant le moyen le plus énergique du Progrès. Comment se fait-il que la Religion, en sanctifiant le mariage, n’ait pas su en conserver la dignité, à ce point que l’institution n’a cessé de déchoir, tant au for intérieur qu’au for extérieur ; que le mariage chrétien est resté inférieur au mariage païen, et que l’Église a toujours confondu l’union légitime avec l’union concubinaire ? Comment se fait-il qu’à force de diviniser l’amour, le mysticisme des théologiens, aussi bien que la spéculation des philosophes, le pousse à la plus infâme corruption ?]
Préambule 181.
Chap. Ier. — Problème complexe du mariage : analyse préparatoire. 188.
Chap. II. — Premières manifestations de la Justice matrimoniale. 200.
Chap. III. — Corruption du mariage et de l’amour par l’idéalisme. Confusion des sexes. 231.
Chap. IV. — Doctrine de l’Église sur le mariage. — Communauté d’amour, concubinat, divorce, confusion des sexes : négation de la femme. 261.
Chap. V. — Corruption de l’amour et du mariage chez les chrétiens. Caractère de la lubricité moderne. 300.