De savoir, de gloire, il ornait sa vieillesse ;
Assis au coin du feu.
Et riche des vertus qui couronnent sa vie,
Donne son cœur à tous, son bien à sa patrie,
Et son âme à son Dieu.
Elle avait les vertus qui font la femme austère.
Orgueil de son époux, tendresse, amour de mère,
Âme exempte de fiel.
Un demi-siècle a vu cette union profonde,
Mais Dieu les sépara quelques jours en ce monde
Pour les unir au ciel.
Resté orphelin à l’âge de 18 ans, il sut par son travail élever ses frères et sœurs, les établir et les faire prospérer.
Marié ensuite, chef d’une nombreuse famille, il consacra tous ses instants au bonheur de sa femme, à l’avenir de ses enfants, etc.
Toi que j’aimais plus que la vie,
Toi qui faisais tout mon bonheur,
Pourquoi si tôt m’es-tu ravie !
Ta mort m’a déchiré le cœur.
Mais je le sens, ton âme pure
Survit au sein de l’Éternel,
Aux restes froids de la nature,
Et mon tourment est moins cruel.