naître la tombe que vous cherchez. » Il nous approche : « Savez-vous où est la tombe de mademoiselle Grouchy ? — Monsieur, je connais la sépulture de mademoiselle Grouchy, la fille du maréchal. — Je suis le maréchal moi-même. » Etant engagé, je le priai de venir avec nous, ce qu’il fit. Les personnes avec qui j’étais, ayant entendu, me dirent ensuite qu’elles verraient le reste seules. Je conduisis monsieur le maréchal à la tombe de sa fille.
N’ayant pas la clef de sa chapelle, M. le maréchal me pria d’aller chercher son entrepreneur (M. Parisé) ; puis s’assit sur une des marches de l’escalier, au milieu de l’allée, comme un ancien soldat habitué à se reposer à la première place venue.
Homme probe et vertueux, reçois nos hommages,
Ton épouse, tes enfants viendront en ce lieu
Souvent pleurer pour le repos de ton âme,
Pour nous tu vivras toujours. Espère en Dieu.