Page:Privas - Chansons vécues, 1903.djvu/95

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
85
Le Sommeil de l’Amante

 
Ferme ton cœur, ô mon aimée,
Voici la divine accalmée,
Le cœur a besoin de sommeil !
Demain, au lever du soleil,
À notre amour, qui s’en exile,
Tu le donneras pour asile.



Publiée avec l'autorisation de M. DIGOUDÉ-DIODET, éditeur, 39. faubourg Saint-Martin, Paris.