Page:Privas - Chansons vécues, 1903.djvu/17

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
7
Pressentiment


Mais en le cher nid de notre demeure
Fleurant le parfum des intimités,
Tandis qu’au dehors le vent siffle et pleure,
En rêvant, gagnons les lieux enchantés
Où l'on n’entend point le glas des Gaîtés
Que gémit l’appel sinistre de l’Heure !



Publiée avec l’autorisation de MM. RICORDI et Cie, éditeurs, 62, boulevard Malesherbes, Paris. Tous droits de traduction et reproduction réserves pour tous pays.