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Chansons chimèriques


Et que de ta bouche
Ma lèvre débouche
Le flacon divin
D’où coule le vin
De la paillardise,
Et que je me grise
Comme un libertin


Avant la dînée,
Sous la cheminée
Mets d’un air dévot
Ton petit sabot ;
Que Noël y vienne
Placer pour étrenne
Le cœur de Pierrot ! »



MANUEL, éditeur, rue Joubert, 33,