Page:Privas - Chansons chimériques, 1901.djvu/216

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
206
Chansons chimèriques


Les lendemains des grands malheurs,
La maritorne et la marquise
Font offrande de leurs douleurs
À l’Oubli qui les thésaurise ;
Et l’Oubli dépose en leurs cœurs,
Comme un baume qui cicatrise,
En lit épais sa cendre grise,
Les lendemains des grands malheurs.



LAURENS, éditeur, rue Richelieu, l8.