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LES ÉPERONS.

les retenir ; et, dans ce cas, ce ne sont pas seulement les jambes, mais c’est aussi le corps et la figure qui se contractent. Le cou et les épaules pren nent particulièrement une raideur tout à fait caractéristique.

Bien rarement, l’élève parvient à se défaire de ces défauts, malgré tout le soin qu’on peut apporter plus tard à les combattre ; car, lorsqu’un mauvais pli est pris, il est bien difficile, sinon impossible, de le faire disparaître.

XII
La cravache.

Je ne me sers de la cravache que dans le travail à pied pour apprendre au cheval à se porter en avant et à céder à l’éperon. Une fois à cheval, je l’abandonne. Aux vrais écuyers les jambes et les mains, aux impuissants la cravache.

XIII
Les éperons.

Je n’admets qu’un genre d’éperon, l’éperon à boîte, car c’est le seul qui reste fixe à sa place : on est donc