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LE ROMAN CONJUGAL DE M. VALMORE

pour ses dernières années, l’homme qu’elle aimait toujours de la même passion douloureuse. À tout prix, il lui fallait quitter Lyon, où elle végétait, en somme, depuis dix ans, sauf les deux trop rapides saisons de Bordeaux.

L’événement allait la servir selon ses souhaits, beaucoup plus rapidement qu’elle n’osait l’espérer.