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jusqu’au séjour de mes infirmités. Je n’ai même appris sa mort que plusieurs mois après ce funeste accident, par le soin que ma famille et tous les amis qui me voient dans ma solitude, ont eu de me la déguiser.

C’est immédiatement après la première nouvelle qu’on m’en a donnée, que j’ai formé le dessein de recueillir par écrit tout ce que j’ai eu de commun avec cette aimable étrangère, et de mettre le public en état de juger si j’avais mal placé mon estime et ma tendresse.