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YVÉE JOURDAN

Alors, il m’a serrée contre sa poitrine, et son étreinte me ranimait en me brisant. Je me suis abandonnée, extasiée, défaillante de toute ma chair amoureuse et offerte. Je l’ai vaguement entendu me répondre :

— Yvée, mon Yvée… ma femme, ma chérie…

Notre heure était venue, vibrante et magnifique…

J’ai répété heureuse, ivre :

— Ta femme… ta femme qui t’aime… mon Max !

FIN

IMPRIMERIE F. DEVERDUN, BUZANÇAIS (INDRE)