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YVÉE JOURDAN

Il me semble que je prépare un grand bonheur et que c’est Lize qui m’aide…

Max reste à la maison près de moi. Il se voue.

J’ai voulu lui faciliter des prétextes, l’obliger. Je lui ai dit :

— Max, il ne faut pas craindre de sortir, de me laisser. La solitude ne me fait pas de mal, en ce moment ; au contraire, je ne l’ai jamais mieux appréciée. Vous devriez descendre, dans Paris, plus souvent, vivre parfois au restaurant, vous mêler au mouvement qui distrait.

Il m’a répondu :