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YVÉE JOURDAN

ments dépassent tellement ce que l’on peut s’imaginer !…

Comment me laverai-je de cette boue qui me salit ?

Ainsi qu’une voix autrefois entendue, ces mots de désespoir résonnent en mon âme :

« Anywhere… out of the world[1] ! »

Mon Dieu… c’est donc à cela que vous me destiniez… Je n’irai plus jamais seule chez les Larcher.

Je me suis ranimée et la vie m’a re-

  1. N’importe où… hors du monde ! (Edgard Poë).