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YVÉE JOURDAN

de l’amertume et de l’irréparable. La vie est lourde, aride…

Elle m’a ainsi analysée :

— Il y a des sentiments qu’il ne faut pas négliger. Il est certaines âmes que l’on prend par la pitié…

En moi-même, j’ai continué :

— Il y a également des instants qu’il ne faut pas laisser passer… ou bien ils ne reviennent pas…

Je songe à Larcher lorsque je le vois, ou bien si l’on m’en parle… Je suis continuellement avec Max… par la pensée…