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YVÉE JOURDAN

Max est parfait pour moi.

Il ne me supplie plus, il attend, il se soumet aux événements.

Notre vie s’écoule vite, dans une activité débordante qui ne laisse pas de place aux retours sur soi-même. C’est bien la vie qu’il nous fallait.

Il sort très tôt dans la matinée, et ne rentre que vers cinq heures. Il descend dans Paris, vers son travail, où l’appellent ses affaires, ses rendez-vous.

Ensuite, il s’enferme pendant deux heures dans son cabinet. Là, il écrit, il compose. Moi, je reçois nos amis, je vais les