Page:Pougy - Les sensations de Mlle de La Bringue, 1904.djvu/95

Cette page a été validée par deux contributeurs.
91
DE Melle DE LA BRINGUE

liers gargantuesques et vernis.

Autour étaient disposés des ouvriers, des calicots habillés prétentieusement et lançant des coups d’œil aux quelques cocottes sales et éparses : plus sales encore que la salle.

Au fond, dans une loge, il me sembla tout à coup revoir ce plastron blanc d’habit noir qu’il m’avait semblé reconnaître le soir de la première…

Collant mon œil à la toile malgré le machiniste qui me tirait par la robe, j’essayais de voir.

Autant le machiniste que l’éclat de la rampe qu’on venait d’allumer