Page:Pougy - Les sensations de Mlle de La Bringue, 1904.djvu/55

Cette page a été validée par deux contributeurs.
51
DE Melle DE LA BRINGUE

fleur de mon corsage, la mettais sur ses genoux et le laissais pétrifié.

Une dernière chose.

Dans un des établissements les plus corrects, du moins réputés comme tels, et où j’attendis environ une heure et demie, deux grooms en riant m’invitèrent à entrer dans un petit salon.

J’ouvris la porte. Un spectacle que je n’oserai qualifier m’attendait.

Les polissons se sauvèrent en s’esclaffant.

Sur les coussins épars, deux femmes, déshabillées, étaient là qui… horreur !