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LES SENSATIONS

pent s’essayait sur une table, en demandant qu’on ne lui fasse « pas de blagues. »

Elle se renversait, les cheveux défaits ; autour, trois jongleurs japonais s’esclaffaient, avec, lorsque ses jambes s’écartaient, tenant par leur roidissement le reste du corps en équilibre, de petits gestes lubriques.

Je m’enfuis de cet antre.

Dans un autre music-hall, un directeur répondit à mes offres de service « qu’en ce moment il n’avait pas de maîtresse » et tout ce qui s’en suit.

Pour réponse, je détachais une