Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
148
IDYLLE SAPHIQUE
bien. N’as-tu pas peur de t’avilir en te traînant dans la boue qui m’entoure ?
— Laisse ! cette boue séchera, durcira au radieux soleil de mon fervent amour, ce sera d’elle-même que nous nous élèverons, Nhine, mon adorée.
— À jamais, alors, prononça Annhine !
— À toujours… répondit Flossie.