Page:Pouchkine - La Fille du capitaine, 1901.djvu/19

Cette page n’a pas encore été corrigée

empressa de me faire quitter la maudite auberge ; il entra en m’annonçant que les chevaux étaient attelés. Je partis de Simbirsk avec une conscience inquiète et des remords silencieux, sans prendre congé de mon maître et sans penser que je dusse le revoir jamais.