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dilles flambent toujours dans le gros poêle et répandent dans le logis la lumière incertaine de leurs pétillantes ardeurs. Mais au logis de la famille de Paul, il plane de l’inquiétude dans toutes les âmes et, au fond des cœurs, il y a des sanglots.
Comme il est triste, hélas ! le foyer qui se déserte… Le foyer, il n’y a que lui pourtant pour tenir réunis des éléments de la famille honnête et chrétienne. S’il s’éteint, tout est perdu ou en voie de se perdre. Dans le cœur de celui qui le quitte, rien ne saurait remplacer le foyer familial, la lampe de famille, les entretiens, les lectures, le soir, après la journée finie.
Ô aberration de celui qui le déserte sans raison, par caprice !…