sans commentaires, cette publication était et est encore comme non avenue.
Aussi nous croyons qu’une édition nouvelle, faite sur des documents authentiques, accompagnée de notes et destinée aux Lorrains, peut-être utile à l’histoire du pays et à l’étude du patois. Avant de connaître celle de 1835, qui ne nous confirme que mieux dans notre pensée, nous nous plaisions un jour à annoncer que cette œuvre ne périrait pas ; notre espoir en est encore plus certain car nous la confions à la Société d’archéologie Lorraine. [1]
OBSERVATIONS SUR LA PRONONCIATION.
L’apostrophe remplace toujours la lettre e ; elle est destinée à faire sonner la consonne sur laquelle elle s’appuie.
H est toujours aspirée, mais elle procède plutôt du palais qué du gosier.
IN est une nasale particulière à la Lorraine ; il est impossible d’en noter la prononciation.
- ↑ Cette épître avec la notice et les notes a paru dans les Mémoires de la Société d’archéologie Lorraine, année 1865. Dans cette réimpression, l’auteur a corrigé quelques fautes matérielles et ajouté de nouvelles notes.