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Tanzaï ; il apportoit une corbeille remplie des fleurs qu’il venoit de cueillir dans la campagne. Zulica courut au-devant de lui, prit les fleurs à poignée, et les pressa contre son sein. Tanzaï s’approcha pour respirer leur parfum, qui s’exhaloit avec les soupirs de sa maîtresse. Je vis distinctement Zulica éprouver, dans tous ses membres, un frémissement qu’il me parût ressentir avec elle. Elle tomba dans les bras de Tanzaï, et j’allai dans mon lit cacher ma foiblesse et ma honte.
» Ma couche fut inondée de mes larmes. Les sanglots m’étouffoient, et dans l’excès de ma douleur, je m’écriai : « Ô ! ma cent et douzième ayeule, de qui je porte le nom,