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ÉTAT DES FAMILLES

QUI ONT SIÉGÉ DANS L’ORDRE DE LA NOBLESSE AUX ASSISES DES ÉTATS DE BRETAGNE TENUES DEPUIS 1736[1].




. Advocat (10 de la Crochais, — de 1746. la Lande. — Andigne (d’k 1748 de la Chasse, 1752. du Plessis-Bardoul, 1762 de 1756. Beauregard, — de Saint-Germain, 1 760. de Grandlieu, — de Saint— 1764. ■ Goustan, 1774 du Leyon, 1786 — de la Rouvraye. 1768. — Auffray de Guelambert, 1758 de 1772. la Villeaubry. 1774. — Aubert (d’), de Langron, 1754 de 1776. la Glisseltere, 1784 de Launay. 1784. . Artur de Keralio. 1786. Aubin de Botcouart, — de la Fontaine. Antigny (d’), de Fregnicourt. Aulnette du Vau tenet. Avice. Auffret de Kerizac. Aux(d’). ALLENOude la Villebasse. Audren de Kerdrel. Artur de la Villearmois. Aubaud du Perron. Ansquer de Kerilis. Amphernet (cH, de Kermadehoa. B . Baudran de Launay. — Becdelievre du Bouftxic, 1754 de Pentaoet. — Belinaye (de la), 1750 de la Teillaye. — Barre (de la), du Ghastelier. — Berruyer (le), du Ter tre— Volance. —’B£GASSONdelaLardais, l756duRoz. — BELLouAN(de), 1760 du Vauniel. . Berthou, 1752 de la Violaye, 1758 de la Motte, 1762 de Kerverzio. — Bertaud du Heurtray, 1764 de la Baussaine. — BiNTiNAYE(de la), 1758 de Montmur. 1736. BirG de la Senaigerie, 1764 de la Marionntere. — Bitaut du Plcssis.

  1. Nous ne rapportons que la plus ancienne tenue à laquelle chaque famille et ses diverses branches ont assisté, tout en distinguant les homonymes. Les tirets tiennent lieu de la dernière date énoncée. Pour avoir entrée et voix déliberative dans l’ordre de la noblesse, il fallait avoir vingt-cinq ans révolus et justifier devant les commissaires du Roi d’au moins cent ans de noblesse et de gouvernement noble non contestés. Voir la Déclaration du Roi concernant l'assemblée des États de Bretagne, donnée à Versailles le 26 juin 1736. Toutefois ces conditions ne furent rigoureusement exigées qu’à partir des nouvelles lettres patentes promulguées en 1770. Jusque-là il s’était glissé à diverses tenues piusieurs membres appartenant à des families déboutées et non réhabilitées. Voir Préface, p. XXXIII.