Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 1.djvu/508

Cette page n’a pas encore été corrigée


Keriolet, par. de Pluneret, — de Rosméno, — de Trémeur, par. de Granchamp, — de Ménémeur, par. de Saint-Patern, — de la Sauvagère, par. de Ploërmel, — du Plessix.}}

Anc. ext., arrêt du conseil de 1071, sept. gén. ; réf. et montres de 1426 à 1536, par. de Baud, Lignol, Guern et Saint-Gildas d’Auray, év. de Vannes.

D’argent au fer de mulet de gueules, accomp. de trois molettes de même. Devise : Fortitudini.

Guillaume, Henry, Pierre et Alain, enfants de Pierre, font en 1304 échange avec le vicomte de Rohan, d’héritages situés paroisses de Noyal-Pontivy et Pluméliau ; Jean et Alain rendent hommage au vicomte de Rohan en 1396 ; Eon, lieutenant du châtel d’Auray en 1433 et gouverneur de Guillaume de Blois, père de Jean, marié 1o en 1155 à Catherine Guimarho ; 2o en 1472 à Jeanne Bino. Du second mariage sont issues les branches de Keriaoal, de Kerantrê et de la Porte, qui existent encore.

Cette famille a produit plusieurs maîtres des comptes depuis 1641 ; plusieurs conseillers au parlement depuis 1628, dont l’un depuis prêtre, connu sous le nom de Keriolet, mort en odeur de sainteté en 1660 ; un page du Roi en 1779 et un maréchal de camp en 1815, v 1826.

La branche de Kernars fondue vers 1652 dans Lopriac ; la branche, du Coscro fondue vers 1506 dans Lantivy.

Gouverneur (le), sr de Chef-du-Bois, — de la Jossaye, — de Belorme.

Déb., réf., 1668, ress. de Saint-Malo. (Protest. 1788). ^ .

D’azur à la croix d’argent, cantonnée de deux étoiles en chef et de deux croissants en pointe, le tout de même.

Guillaume, évêque de Saint-Malo en 1610, † 1630 ; plusieurs maires de Morlaix et un gouverneur du château du Taureau depuis 1644 ; un secrétaire du Roi en 1715.

Gouy, sr de Langle, par. de Sainte-Pazanne, — du Brauday, par. de Brains, — de la Petite-Aubrays, par. de Sainte-Croix de Machecoul, — de la Nou-Pourceau et de la

Pichefolière, par. de Saint-Mesme.

Réf. de 1453 à 1455, dites par., év. de Nantes.

Gouyon, Gouéon ou Goyon, sr de la Roche-Goyon, par. de Plévénou, — de Maliguon, par. de ce nom, — de Languénan, par. de ce nom, — comte de Toriguy en 1565, — comte de Gacé et sr d’Estouteville, en Normandie, — prince de Mortagne-surGironde et sr de Lesparre, en Guyenne, — duc de Valentinois et pair de France eu 1715, — sr de Broëllo et de Launay-Goyon, par. de Saint-Potan, — de Vaudoré, — marquis de la Moussaye en 1615, par. de Plénée-Jugon, — comte de Plouèr, par. de ce nom, — sr de * Touraude, par. de Baguer-Morvan, — de * Beaufort, par. de Plerguer, vicomte de Pommerit et de Tonquédec, — baron de Marcé en 1592, en Anjou, —

baron du Juch, par. de Plouaré, — comte de Quintin, — .marquis de laMuce-Ponthus, par. de Ligné.

Anc. ext. chev., dix-sept gén., maint, par arrêt du parlement en 1778; mais n’ont pas produit en Bretagne à la dernière réformation ; réf. et montres de 1423 à 1535, par. de Plévénon, Matignon et Saint-Potan, év. de Saint-Brieuc.

D’argent au lion de gueules, couronné d’or (Sceau 1219), qui est Gouyon ; aliàs : d’or à deux fasces nouées de gueules, accomp. de neuf merlettes de même en orle, i.