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Traitté

veront bien, s’ils en uſent de la maniere que j’ay marqué dans la curation.


XXII.


Pour concluſion, comme il ne ſuffit pas de vuider les humeurs qui pechent, & même d’obſerver un bon regime de vivre ; mais qu’un des principaux points de la gueriſon, eſt de fortifier les jointures, afin qu’elles ne reçoivent pas ſi facilement l’affluence des ſeroſitez ; le meilleur & le plus ſouverain, c’eſt qu’au temps des vendanges le malade ſe mette dans la cuve pour y laver ſes pieds, ſes jambes, ſes cuiſſes, ſes bras, & meſme tout ſon corps ; Il n’y a rien de meilleur ſous