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xix
L ’automne touchait à sa fin, peu à peu on
rentrait à Lublin, et c’étaient chaque jour
des voitures encombrées de bagages qui traversaient
la chaussée.
Dans le jardin de la villa, les feuilles s’amassaient, balayées par le vent du nord, et les grands tournesols, dépouillés de leur corolle dorée, penchaient languissamment leur tête chargée de lourdes graines.
Toutes larges ouvertes, les fenêtres du rez-de-chaussée montraient le va-et-vient des domestiques qui frottaient, époussetaient à la hâte.