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L a main sur le bouton de la porte, écartant
discrètement de l’autre l’étoffe flottante
qui servait de portière, Marylka, très mince
dans son long vêtement de soie de Chine,
s’était arrêtée sur le seuil du salon encombré
de visiteurs, et, allongeant le cou, elle cherchait,
parmi cette foule de têtes indifférentes,
à apercevoir les figures si caractéristiques de
ses tantes.
Là, à gauche, dans ce fauteuil, toute pomponnée et empanachée de rubans clairs et de dentelles, fraîche encore et souriante sous ses cheveux légèrement poudrés, c’est la tante