Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/188

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Tiens, nous partagerons tout, l’argent, le linge, tout.

— Je n’ai pas confiance, dit Bouquin. Si je vous laisse sortir d’ici, vous rechargerez votre fusil et vous me tuerez comme un poulet.

— Je te jure que non.

— Il me faut des garanties…

— Eh bien, parle je t’en donnerai.

— D’abord, dit le Bouquin, vous allez remettre le coffre dans ce trou-là.

— Pourquoi donc ?