Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/91

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Laquelle ?

— C’est que les officiers qui sont à Auxerre ont une médiocre estime pour toi.

— Je les casserai.

— Imbécile ! force-les à obéir, voilà tout. Curtius va parler au nom du ministère, au nom de la République. La municipalité d’Auxerre lui donnera un bataillon de garde civique ; ce qu’il reste de sans-culottes dans la ville se joindra aux deux régiments.

— Tu parles bien, dit Solérol.