Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/54

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Où donc ?

— Là-bas, répéta la Lucrétia, auprès de madame Solérol.

— Le Bouquin t’accompagnera ; viens.

Et Brulé prit sa fille par la main.

Comme ils avaient parlé à mi-voix, Michelin, qui se tenait dans la pièce voisine, n’avait pu entendre ce qu’ils disaient ; mais quand il vit la Lucrétia sortir, donnant la main à son père, il comprit qu’il y avait une convention tacite entre elle et Brulé.