Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/49

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Eh bien ! reprit le fermier, fais bien attention à mes paroles. Si le capitaine veut t’épouser, j’abandonne le Solérol et je le perdrai !

— Ah ! fit la jeune femme, pâle d’émotion.

— Tu vas venir avec moi, continua Brulé.

— Où donc, mon père ?

— Dans la chambre du capitaine.