Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/241

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Dans un coin du caveau il y avait une table sur laquelle on avait placé des plumes, du papier et de l’encre.

Chacun des trois hommes était armé d’un poignard.

En face de lui, Curtius aperçut un trou noir : c’était par là que venait la bouffée d’air humide.

Puis, dans ce trou, quelque chose de sinistre qui se balançait.