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rèrent alors le jaune métal et lui arrachèrent de chaudes étincelles.

— Oh ! que c’est beau ! murmura le Bouquin.

Et il se prit à faire de ses doigts une sébille et à y faire sauter les pièces d’or, s’enivrant de leur bruit sonore, de leur tintement joyeux, fascinant son regard de ces reflets fauves et ardents.

Mais soudain, il tressaillit, leva la tête et jeta un cri.

Il n’était plus seul dans le trou à renards.