Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/288

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

mais ce que nous ne voulons pas, c’est qu’on nous traite de brigands.

« Notre vie est à nos ennemis, notre honneur est à nous.

« Nous ne demandons à la République ni trêve ni merci, mais ce que nous voulons, c’est que ce misérable Solérol ne fasse point peser sur nous la plus infâme des calomnies. Comprends-tu ?

« Si cette lettre te parvient, va voir Barras, vois la bonne Lange… Il faut que la vérité se fasse jour.