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de course et cernait le château, traînant derrière lui deux pièces d’artillerie qui furent braquées devant la porte.
Au premier coup de canon, la porte fut ébranlée ; au second elle tomba.
Les soldats s’élancèrent alors dans le manoir, persuadés qu’ils allaient être fusillés à bout portant, et que chaque salle serait barricadée et résisterait.
Il n’en fut rien.